un garage au fin fond du Tennessee.
Et
Pause déjeuner à Paducah et bien sûr pose devant la vache et son quilt !
Après avoir laissé Martine fatiguée à l'hôtel, nous partons pour rendre la voiture, ultime mission et non des moins importantes.
Direction l'aéroport de New-Orleans où après avoir pas mal tourné, nous rendons l'objet dont nous avons pris grand soin.
Et pas peu fières après 3 semaines sans anichroche, ni égratignure.
Un taxi nous amène au Quartier Français, centre ville de New-Orleans où nous déambulons sans aucun problème, un repas pris dans un restaurant animé, et une pluie diluvienne nous surprend : achat obligatoire de 3 parapluies.
Quand il pleut à New-Orleans c'est quelque chose ! Le jean et les baskets trempés nous allons quand même jusqu'au bord du Mississipi, toujours aussi impressionnant : il est à peine à 2 mètres du bord.
La musique sort par toutes les portes des bars ouvertes le long de Bourbon street, il y a aussi des boites moins attrayantes (on se croirait à Pigalle !). Le style a quelque peu changé ici depuis Kathrina.
Notre boulangerie préférée, "la Madeleine" ne s'est pas réinstallée depuis les inondations. De nombreux squats (sous forme de tentes installées sous les échangeurs au bas de Canal Street), mais le centre ville est animé.
Nous avons la chance de pouvoir écouter un groupe musical des rues composé de 3 violons, 1 guitare, 2 accordéons et 1 contrebasse, scandant une musique tzigane très dynamique et d'écouter religieusement un chanteur de blues noir et aveugle : à faire pleurer tellement c'était beau !
Puis dernier repas cajun dans un petit restaurant au nom français dans la rue des antiquaires, plus calme que Bourbon Street. Retour en taxi.
Et là, finie la rigolade, il faut boucler les bagages ! Mais on y arrive, depuis le temps qu'on les optimise.
Départ le lendemain pour 7 heures avec la navette de l'hôtel, donc lever 6 heures.
Pour ce soir, impossible de charger des images, alors soyez encore patients ...