12 juin 2006

Nostalgie, nostalgie ...



Finalement, il pleut encore sur Boston, nous décidons de ne pas aller en ville comme prévu et de rester à faire nos valises pour éviter le stress du départ.
Les valises sont lourdement chargées et au check-in Nicole et Anne sont obligées d'alléger leurs valises de 5 et 3 kg au milieu de l'aérogare. Pas fières ! Mais elles arrivent à tout recaser le surplus dans leurs sacs à dos. Sauvées !
Tout le monde destresse et nous décidons d'aller manger avant d'embarquer 2 heures plus tard.
Michelle, Anne et Martine, chinois et Nicole Mac Do !

Pendant le voyage de retour, la nostalgie nous gagne. Et impossible de dormir, nous avons la chance d'avoir d'agréables petits monstres près de nous qui nous hurlent dans les oreilles.

Nous descendons très vite à Londres, car avec le décalage horaire, nous n'avons que 40 mn pour prendre notre avion pour Genève. Nous abandonons très vite Martine qui elle rentre sur Paris 2 h plus tard. Course dans les couloirs de l'aéroport (et ils sont très longs !), nous arrivons 10 mn avant la fermeture de la porte d'embarquement. C'est là que nous réalisons qu'il fait beau et chaud de bon matin à Londres.

Arrivée à Genève sans encombres. Nous passons la douane côté français, mais nos bagages sont restés côté suisse. Là, nous apprenons qu'il faut téléphoner et qu'un service spécialisé nous apportera nos bagages. Anne, qui vient de retrouver son Philippe et qui est très inquiète de retrouver ses valises en bon état après les avoir refaites si soigneusement chaque soir, décide de repasser la frontière pour aller les récupérer. Pendant ce temps, un bagagiste nous apporte nos 6 valises en totalité et en bon état. Anne et Philippe finissent par retrouver le chemin de la sortie dans le dédale des douanes.

Heureusement Pierre-Loïc, le fils de Michelle, est là et prend en charge les bagages de Michelle et Nicole. La voiture est pleine et il n'a même pas de place pour s'asseoir. Il se faufile quand même.
Nous le déposons chez lui à Ferney et repartons jusqu'à Chamonix après un café. Arrêt chez Nicole : la voiture s'allège de façon visible !

Nous voilà chez nous, il n'y a plus qu'a vider les valises, faire les lessives, trier courrier et messages et récupérer du décalage horaire.

Pour plus tard, ranger nos tissus, nos achats, s'occuper des photos ... et commencer à rêver au prochain voyage !

1 commentaire:

  1. même idée en même temps, impossible de se connecter ce matin sur le blog.
    la nostalgie m'a déjà prise dans l'avion.
    martine

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